Thailand Street Photography

A few weeks ago, we were in Thailand for a small family trip of 2 weeks. We sailed between Bangkok, Chang Rai and Chang Mai and Koh Samet. It was our first time in Asia and we loved the country, the people.
We loved the atmosphere in the cities. We loved the atmosphere in the cities, both the gigantism, the bustle and the serenity of the people.
It was the occasion to regularly take out my camera and take pictures in the street.

Il y a quelques semaines, nous étions en Thaïlande pour un petit voyage en famille de 2 semaines. Nous avons navigué entre Bangkok, Chang Raï et Chang Maï et Koh Samet. C’était la première fois que nous mettions les pieds en Asie et nous avons adoré le pays, les gens.
Nous avons aimé l’atmosphère régnant dans les villes. A la fois le gigantisme, le fourmillement et la sérénité des gens.
Ce fut l’occasion de sortir régulièrement mon appareil photo et de tirer des photos dans la rue.

4 jours à Valence

Les noms des grandes villes espagnoles nous évoquent mille choses. Barcelone la joyeuse, Madrid la bouillonnante, Séville l’élégante… En revanche, Valence ne nous parlait absolument pas. Jusqu’à ce que nous nous mettions à la recherche d’une destination européenne ensoleillée et bon marché pour prolonger l’été. Plouf-plouf-Valence-ce-sera-toi ! …

C’est à partir du blog mi-fugue mi-raison que j’ai eu envie de partir quelques jours en famille à Valence.

Sicile

Après avoir parcouru rapidement la Sicile de Catane à Syracuse, de Palerme à Cefalu, je vous propose une série de photos de rue.

Dans cette série, vous ne verrez pas de couleurs, de sable blanc, ni de ciel bleu, mais des photos en noir et blanc des gens aux marchés, dans les rues, dans les églises. Des photos de Siciliens dans leur vie de tous les jours.

Catania to Syracuse, from Palermo to Cefalu, I propose a series of street photos.
In this series, you will not see colors, white sand, or blue sky, but black-and-white photos of people at old markets, in the streets, in churches. Pictures of Sicilians in their everyday life.

Indifférence

Il y a quelques jours, l’émission « Envoyé spécial » proposait un reportage sur l’usine Whirpool intitulé « Les oubliés de la campagne ». Ce document expliquait que malgré 850 millions d’euros de bénéfices en 2016, Whirlpool avait pris la décision de délocaliser son usine d’Amiens en Pologne, où les salaires sont plus bas. J’ai particulièrement été frappé par le désarroi des ouvriers et notamment par le syndicaliste qui ne parvenait pas à distribuer ses tracts sur le parvis de la grande arche à Paris. Personne ne faisait attention à lui, voire détournait son chemin pour l’éviter.

Me trouvant dans quartier de la Défense à ce moment là, je me suis mis à observer les gens, leurs attitudes, leurs déplacements aux heures d’embauche : des chemins bien tracés, des regards dirigés vers le sol, un mobile scotché à l’oreille. Ni regard, ni sourire, de véritables zombies dans une indifférence la plus totale.

(Vous pouvez passer en plein écran en cliquant sur l’icône à droite du bouton HD)